sirène - le buste
bonjour, soir, nuit
Je reprends mon ouvrage là où je l' avais laissé; nous avons étudié hier le visage de cette créature marine autant que terrestre; passons maintenant à l'observation du buste; cet élément corporel qui par son poids, son volume, sa surface, représente pas moins de la moitié du corps de cet être original.
La face avant du buste, sous le cou, paraît semblable au buste féminin de l'espèce humaine; cependant, la sirène, naturiste dans le coeur et l'esprit ne porte pas de haut de maillot de bain.
Elle laisse ainsi sans discrétion aucune à la vue des observateurs, voir une excroissance mammaire remarquable, appelée poitrine chez la femelle d'Homme; composée généralement de deux mamelles ("seins" en sciences naturelles du corps humain ) de généreuse taille, sans être excessive toutefois . Pourrait on en conclure que la sirène est un mammifère? rien n'est moins sûr; restons prudents mais n'éliminons pas cette hypothèse.
Les "seins" :
Leur consistance semble être ferme, sans être dure (d'après certaines sources non officielles), phénomène attribué à la qualité de l'eau marine; fraîcheur et salinité étant les composants conservateurs des tissus.
Dans son déplacement de la mer vers la terre là ou elle a pied, disons plutôt queue, la sirène marche en ondulant des reins. Ainsi se distinguent sur son ventre, des muscles transversaux, à droite et à gauche de la médiane sternum-nombril, nommés "tablettes de chocolat " ( en sciences naturelles du corps humain).
Le derrière du buste, " dos" dans les ouvrages de vulgarisation de physiologie, ne présente pas de grand intérêt .
Assez triangulaire, (triangle pointe en bas) musclé, un peu trop, bien marqué par une colonne vertébrale souple, il est le résultat de la vie en milieu aquatique et des déplacements dans cet environnement aqueux (on ne sourit pas! pas vrai johnny?). La sirène pratique, pour ce faire, des mouvements dits de " natation"; dos crawlé, nage libre, papillon, crawl, brasse, employés soit en enchaînements structurés pour aller d'un point à un autre avec rapidité et efficacité, soit dans un désordre surprenant, mélange arythmique et saccadé, mais d'une étrange qualité artistique (selon certaines sources non officielles).
Bon c'est assez pour aujourd'hui. A une prochaine fois.
ci dessus: petites embarcations des populations indigènes pauvres, utilisées pour la "pêche raisonnée" à la sirène .
Je reprends mon ouvrage là où je l' avais laissé; nous avons étudié hier le visage de cette créature marine autant que terrestre; passons maintenant à l'observation du buste; cet élément corporel qui par son poids, son volume, sa surface, représente pas moins de la moitié du corps de cet être original.
La face avant du buste, sous le cou, paraît semblable au buste féminin de l'espèce humaine; cependant, la sirène, naturiste dans le coeur et l'esprit ne porte pas de haut de maillot de bain.
Elle laisse ainsi sans discrétion aucune à la vue des observateurs, voir une excroissance mammaire remarquable, appelée poitrine chez la femelle d'Homme; composée généralement de deux mamelles ("seins" en sciences naturelles du corps humain ) de généreuse taille, sans être excessive toutefois . Pourrait on en conclure que la sirène est un mammifère? rien n'est moins sûr; restons prudents mais n'éliminons pas cette hypothèse.
Les "seins" :
Leur consistance semble être ferme, sans être dure (d'après certaines sources non officielles), phénomène attribué à la qualité de l'eau marine; fraîcheur et salinité étant les composants conservateurs des tissus.
Dans son déplacement de la mer vers la terre là ou elle a pied, disons plutôt queue, la sirène marche en ondulant des reins. Ainsi se distinguent sur son ventre, des muscles transversaux, à droite et à gauche de la médiane sternum-nombril, nommés "tablettes de chocolat " ( en sciences naturelles du corps humain).
Le derrière du buste, " dos" dans les ouvrages de vulgarisation de physiologie, ne présente pas de grand intérêt .
Assez triangulaire, (triangle pointe en bas) musclé, un peu trop, bien marqué par une colonne vertébrale souple, il est le résultat de la vie en milieu aquatique et des déplacements dans cet environnement aqueux (on ne sourit pas! pas vrai johnny?). La sirène pratique, pour ce faire, des mouvements dits de " natation"; dos crawlé, nage libre, papillon, crawl, brasse, employés soit en enchaînements structurés pour aller d'un point à un autre avec rapidité et efficacité, soit dans un désordre surprenant, mélange arythmique et saccadé, mais d'une étrange qualité artistique (selon certaines sources non officielles).
Bon c'est assez pour aujourd'hui. A une prochaine fois.
ci dessus: petites embarcations des populations indigènes pauvres, utilisées pour la "pêche raisonnée" à la sirène .