prose pause

bonjour, soir, nuit les pieds pendus aux fonds glacés la tête perdue dans l'horizon penché j'écoutais les cris blessants des mouettes, des grands goélands cruels à déchirer l'air des silences de mes rêves sur l'eau en balance la main des pêcheurs sans...

bonjour, soir, nuit Et les petits êtres debout alignés ne tendent pas les bras vers le ciel, ils y sont déjà, au coeur du plus éblouissant des astres. Posés sur le soleil en ronde resplendissante, profanes ils dansent une musique à nous faire rire la...

un clin d'oeil à une demoiselle ou dame (inconnue) qui aime écrire de la poésie en particulier et à toutes et tous qui se reconnaitraient en elle . quelques mots sans prétention aucune mais qui me plaisent bien ; au temps où sur certains incertains forums...

l'été ; absences sur internet , silences la terre nette enfin l'été raisonne de tous ses sens elle, lui, abandonnent la prison qu'ils s'étaient faite que personne ne regrette ce refus de présence l'écran, lumière muette n'est plus témoin de rien même...

do ce fou lié folie douce douce ma mie la peau de mon pouce effleure la peau mousse de ton cou c'est l'heure serment doux où poussent les cœurs des enfants fous naejlou

vers le vallon de combeau - vercors sud - diois . bonsoir acrostiche chiche accrocher crocher croc rocher ocher cher her er r accrocher crocher croche rocher oche croc hocher er r ne pas avoir l'air, détacher l'air, une fois l'air détaché, détacher l'r...

la rue d'avant j’me souviens plus vraiment il n'y avait plus d’ passants plus d' chats blancs plus d' chats noirs dans la rue d'un soir y ‘ avait plus qu' des trottoirs dans l' noir dans la rue d'avant plus d' bruit plus d'envies même plus d'ennui dans...

réminiscences d'errances sur le net; femmes seules, hommes seuls, écran, miroir, se faire croire, se laisser croire ...sans se faire voir; rien en face pas un son, ni un mot prononcé, pas une image en vie, ni une odeur, un parfum, pas une palpitation;...

comment écrire quand l'imagination fait des faux, fait défaut ? sans idées voyons voir sur le papier le brouillard opacité inactive faculté à inventer malheureuse dérive s'enfoncer cet éclair de lucidité mon terrible aveu du peu du presque rien presque...

vous pilez devant une pince à aller piller les sentiments du coeur le sang gentiment cependant s'épandant perdra sa couleur pour votre malheur